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Bref historique de SNAP®

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SNAP® est le résultat de trois décennies de recherche solide, d’innovation en matière de développement de programmes et d’évaluation stricte. Au cours de son histoire impressionnante, SNAP a également obtenu la reconnaissance de plusieurs organismes nationaux et internationaux, en plus de recevoir plusieurs distinctions et prix prestigieux.

1970

  • Fin des années 1970 – Un membre du personnel de l’ancien Earlscourt Child and Family Centre, aujourd’hui le Child Development Institute, met au point la première stratégie SNAP pour les enfants aux prises avec des problèmes de comportement dans le cadre d’un programme de traitement de jour.

1980

  • 1982 – Ouverture du Camp Wimodausis, le premier camp de jour spécialisé de Toronto pour les enfants âgés de 6 à 11 ans incapables d’assister à un camp de jour d’été en raison de leurs problèmes sociaux et comportementaux.
  • 1985 – La stratégie SNAP est améliorée, consignée dans un manuel et structurée de façon multidimensionnelle afin de devenir le projet de sensibilisation SNAP des moins de douze ans (SNAP ORP), aujourd’hui nommé SNAP pour les garçons. Ce programme, destiné aux garçons de moins de 12 ans en conflit avec la loi, a été mis au point par l’équipe de scientifiques et de praticiens dont font partie Kenneth Goldberg, Kathryn Levene, Leena Augimeri, Elizabeth Leggett, Camille Hannays et Debra Pepler. Au fil des années, Kathy Williams, Nicola Slater, Carl Riley, Christopher Koegl, Karen Sewell, David Day et Christopher Webster ont également contribué de façon significative au développement du modèle.

1990

  • 1994 – Le programme SNAP jeunesse est mis au point pour aider les finissants de SNAP tout au long de leur adolescence. Aujourd’hui, ces jeunes ont accès à plusieurs composantes de traitement par l’entremise de SNAP leadership jeunesse, telles que des clubs de leadership, de l’orientation professionnelle, un programme d’été de leaders en formation, du tutorat et de l’aide scolaire, du counseling individuel et familial, des ateliers pour les parents et des ateliers de présentation d’excuses aux victimes.
  • 1996 – Lancement de SNAP Girls Connection, aujourd’hui SNAP pour les filles, le premier programme continu spécialement destiné aux filles éprouvant des problèmes comportementaux et à leurs familles. Nous avons décelé une lacune significative en matière de programmes et de recherche sur les facteurs uniques ayant une incidence sur l’agressivité des filles. Nous avons créé SNAP pour les filles pour combler cette lacune.
  • 1998 – Lancement de la Liste d’évaluation précoce des risques pour les garçons (LEPR-20B). Cette liste complète d’évaluation des risques psychosociaux vise précisément les jeunes enfants aux prises avec la justice. Les 20 questions du manuel aident les praticiens à cerner les facteurs de risque associés aux comportements antisociaux futurs chez les enfants.
  • 1999 – Lancement du protocole des services centralisés de Toronto pour les enfants de moins de 12 ans en conflit avec la loi avec le Service de police de Toronto. Le protocole de Toronto permet aux enfants à risque et à leurs familles d’avoir accès à des services en temps opportun dans leur propre communauté grâce à une ligne centralisée. Premier programme de la sorte, le protocole de Toronto a servi de modèle à plus de 10 protocoles similaires au Canada.

2000 à aujourd’hui

  • 2001 – Ouverture du Centre for Children Committing Offences, qui vise à faire progresser les approches éprouvées pour les enfants de moins de 12 ans ayant eu des problèmes avec la justice ou à risque d’en avoir en raison de leur comportement agressif et/ou délinquant.
  • 2001 – Lancement de la Liste d’évaluation précoce des risques pour les filles (LEPR-21G), outil complet spécialement conçu pour l’évaluation des risques psychosociaux des jeunes filles de 6 à 11 ans démontrant des problèmes de comportement perturbateur.
  • 2002 – Lancement du projet pilote SNAP pour les écoles en collaboration avec le St. Paul Public School Board du comté de Ramsey, au Minnesota. Les résultats positifs démontrent que SNAP est un programme d’intervention solide pouvant être adapté aux salles de classe. Quelques commissions scolaires au Canada et à l’étranger ont maintenant adopté SNAP pour les écoles.
  • 2003 – Banyan Community Services de Hamilton, en Ontario, est le premier organisme à dupliquer les programmes SNAP pour les garçons and SNAP pour les filles dans leur intégralité. Ce succès prouve qu’il est possible de dupliquer SNAP en tant que programme efficace fondé sur des preuves.
  • 2009 – Lancement du projet SNAP sensibilisation des jeunes, un programme d’intervention et de prévention qui effectue des activités de sensibilisation, de développement et d’engagement communautaires auprès des jeunes âgés de 13 à 17 ans du quartier Jane-Finch de Toronto.
  • 2013 – SNAP devient le premier projet à bénéficier du soutien et de l’expertise de LEAP : The Centre for Social et de ses partenaires, dont Boston Consulting Group, Cossette, Ernst and Young, McCarthy Tetrault et Offord Group. Avec l’aide et le soutien de LEAP, le CDI lance la campagne d’expansion nationale de SNAP, dont l’objectif est de rendre SNAP accessible à 20 000 enfants de plus et à leurs familles au Canada d’ici 2019.
  • 2014 – Lancement du modèle SNAP justice jeunesse. À l’aide de la technologie novatrice des tablettes, ce programme vise à réduire les risques que les garçons de 12 à 19 ans impliqués dans le système de justice pour les jeunes aient des problèmes supplémentaires avec la loi et/ou se joignent à des gangs, qu’ils soient incarcérés, en probation ou dans la communauté.

« Elle frappait, injuriait et donnait des coups. J’avais atteint le bout du rouleau avec Rachel. C’était extrêmement difficile – beaucoup de pleurs et de culpabilité – je me demandais ce que j’avais fait comme parent. Jusqu’à ce jour, personne ne voulait s’engager envers moi ou envers Rachel. Tout ce que je peux maintenant constater, c’est les progrès que nous avons accomplis ensemble. Le programme nous a aidés tous les deux. Rachel ne se comporte plus de façon aussi violente qu’avant. »

Parent d’une fille SNAP