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La science derrière SNAP®

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La recherche de SNAP®

Le but de notre recherche consiste à améliorer la pratique clinique, à avancer les connaissances et à rendre des comptes à nos clients. Jusqu’à maintenant, SNAP a été évalué selon les critères les plus stricts des traitements bien établis (par ex. : utilisation de contrôles aléatoires/listes d’attente, mesure de résultats fiable et standardisée, surveillance continue afin d’assurer la fidélité au traitement).

Nos réussites en matière de recherche et d’intervention sont de plus en plus reconnues par des universitaires éminents spécialisés en prévention de la délinquance chez les enfants et les adolescents.

Dans son ensemble, voici ce que notre recherche a démontré :

  • Lorsque les familles commencent un programme SNAP du CDI, les taux d’abandon sont extrêmement faibles par rapport à la norme de l’industrie, et la majorité des familles terminent le programme.  
  • Des améliorations considérables ont été observées après le traitement, et les gains du traitement ont été maintenus après 6, 12 et 18 mois au niveau des comportements d’externalisation (par ex. : agression, délinquance), des comportements d’internalisation (par ex. : anxiété, dépression) et des compétences sociales (par ex. : relations avec les pairs, participation aux activités).
  • Les enfants traités connaissent une amélioration significative supérieure à celle des enfants du groupe n’ayant pas reçu de traitement ou ayant reçu un traitement différé; l’amélioration est considérable pour les garçons (plus de 1,1) et modérée pour les filles (0,51).
  • Les parents ressentent moins de stress dans leur relation avec leurs enfants et ont une meilleure confiance en leurs capacités de gérer le comportement de leurs enfants.
  • Les enfants affirment que les relations avec leurs parents se sont améliorées et qu’elles comprennent moins de cris et plus de limites.
  • Après le traitement, les enfants affirment avoir une attitude moins positive envers les comportements antisociaux, ils s’associent moins souvent à des pairs que leurs parents considèrent de « mauvaises influences » et ils adoptent un comportement prosocial envers les profs, leurs pairs et les membres de leur famille.
  • Une évaluation plus poussée des effets du programme nous indique que la quantité de traitement reçue influence l’efficacité du traitement au niveau de la diminution immédiate de la délinquance et de l’agressivité, ainsi que de la diminution à long terme de la participation à des activités criminelles.
  • Le profil du client, et particulièrement les facteurs de risque à l’enfance (par ex. : attitude antisociale, fonctionnement à l’école), ainsi que la sévérité des problèmes au début du traitement, sont des facteurs importants à considérer, car il a été prouvé qu’ils influencent le résultat.
  • Le développement sexuel précoce chez les filles et les preuves d’abus, de négligence ou de traumatismes, associés à d’autres facteurs de risque, entraînent des résultats de traitement mitigés.
  • En se fondant uniquement sur les condamnations, les économies engendrées par le programme SNAP se chiffrent entre 3,07 $ et 5,64 $ pour chaque dollar dépensé pour le programme. Lorsque cette estimation inclut les offenses non détectées, les économies se chiffrent entre 25,79 $ et 47,29 $.
  • L’évaluation de SNAP par une tierce partie a démontré que les résultats du programme à court terme et à long terme sont supérieurs à ceux d’autres services plus intensifs, particulièrement pour les enfants ayant les troubles de comportement les plus graves.
  • Avant de commencer le programme SNAP pour les garçons, les sujets montraient une plus grande activité dans la partie du cerveau généralement associée à l’anxiété (voir l’image ci-dessous). Après seulement quatre à six mois de participation au programme, des changements significatifs ont été constatés au niveau de l’activité de la partie du cerveau responsable de la réflexion de niveau supérieur associée au suivi des étapes fondamentales de SNAP.

Avant

Image of brain indicating greater activation in the part of the brain typically associated with anxiety.

Après

Image of brain showing significant changes with greater activation in the part of the brain responsible for higher-order thought associated with following through on the fundamental steps of SNAP

Pour plus d’informations sur des recherches précises, consultez le document Résumé de la recherche sur SNAP pour les garçons et SNAP pour les filles.

Partenaires de recherche

Notre équipe hautement qualifiée de chercheurs internes initie et effectue la recherche, en plus de collaborer avec des chercheurs, des praticiens, des experts en politique et des étudiants diplômés éminents du Canada, des États-Unis et de l’Europe. Voici quelques-uns de nos collaborateurs de recherche:

  • Banyan Community Services
  • Cambridge University, Royaume-Uni
  • Ministère de la Justice du Canada
  • Department of Justice, États-Unis
  • Hospital for Sick Children
  • Fondation de la famille J.W. McConnell
  • Karolinska Institutet (Suède)
  • Krembil Foundation
  • LaMarsh Research Centre, York University
  • Centre national de prévention du crime
  • Norsk senter for studier av problematferd org Innovativ praksis as (Norvège)
  • Office of Juvenile Justice & Delinquency Prevention, États-Unis
  • Offord Centre for Child Studies
  • Ministère des Services à l’enfance et à la jeunesse de l’Ontario
  • Ministère de la Sécurité communautaire et des Services correctionnels de l’Ontario
  • PREVNet
  • Centre d’excellence de l’Ontario en santé mentale des enfants et des adolescents du Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario
  • Simon Fraser University
  • Fondation de la famille T.R. Meighen
  • Institut Trimbos (Pays-Bas)
  • Université de Maastricht
  • University of Minnesota
  • University of New Orleans
  • University of Pittsburgh Medical Center Health System
  • University of South Florida
  • University of Toronto

Modèles SNAP®

« Le CDI s’est engagé à intégrer la science et la pratique en étudiant les services d’évaluation et d’intervention offerts aux filles et à leurs familles qui ont participé au programme SNAP pour les filles. J’ai observé l’implantation du programme, puis j’ai entendu des filles et des parents parler de l’impact que la participation a eu sur leur vie. »

Susan Stern, professeure adjointe, département de travail social, University of Toronto